Le projet bénéficiera de façon directe à toutes les parties impliquées dans la chaîne de valeur de la mangue et la filière alimentation animale dans le bassin, comprenant les groupes suivants :
les principaux acteurs et parties intéressées de la chaîne de valeur (individus et firmes), à savoir 14 000 producteurs (5 000 dans la chaîne de valeur de la mangue[1] et 9 000 dans la filière alimentation animale), 500 pisteurs, 20 commerçants, 70 transformateurs, 20 grossistes et exportateurs, 5 abattoirs.
Des entités privées participantes, comme des organisations professionnelles et interprofessionnelles, incluant sans s’y limiter l’Interprofessionnelle de la chaîne de valeur de la mangue (IFM), la Fédération des intervenants de la filière avicole au Mali (FIFAM), la Fédération nationale groupement interprofessionnel de la filière bétail viande (FEBEVIM), la FENALAIT, la Fédération nationale des producteurs d’huile et d’aliment bétail au Mali (FENAPHAB), l’Organisation patronale des industriels (OPI), cent coopératives de producteurs et commerçants, ainsi que l’Association professionnelle des banques et établissements financiers du Mali (APBEF).
Les travailleurs employés par les entreprises des chaînes de valeurs (CV) appuyées par le projet.
Les agents impliqués dans des activités liées au Projet par le biais des effets d’entraînement en amont du Projet (propriétaires de pépinières, producteurs de semences, fournisseurs d’intrants agricoles, collecteurs locaux), et des effets d’entraînement en aval (transporteurs, détaillants, entreprises d’expédition, fournisseurs de matériel de conditionnement).
Les communautés rurales vivant dans les zones qui deviendront accessibles grâce à l’amélioration du réseau routier, les consommateurs locaux de produits agricoles et d’élevage, ainsi que les utilisateurs du guichet unique d’API-Mali.
Des ministères, départements et agences, y compris le ministère de l’Agriculture, le ministère de l’Élevage, le ministère des Transports, le ministère du Commerce, le ministère de développement industriel (DNI), le ministère de la Promotion de l’investissement et du Secteur privé, l’API-Mali, les directions régionales de ces ministères, l’Institut d’économie rurale (IER) le Comité national pour la recherche agricole (CNRA), des commissions foncières et les collectivités territoriales.